Conférence : Intelligence économique et stratégique en Normandie : Retour d'expérience.
Nécessité de créer une culture organisationnelle favorisant la libre communication, sans peur de représailles ou de sanctions.
Le "syndrome du porteur de nouvelles" est un concept de Jean-Pierre Larcher lié à l'intelligence économique et stratégique.
Il souligne les difficultés des personnes apportant des informations importantes en entreprise. Ces porteurs de nouvelles peuvent être mal perçus, ce qui peut entraîner une réticence à partager des informations de première importance. Il insiste sur la nécessité de créer une culture organisationnelle favorisant la libre communication, sans peur de répercussions
Il souligne les difficultés des personnes apportant des informations importantes en entreprise. Ces porteurs de nouvelles peuvent être mal perçus, ce qui peut entraîner une réticence à partager des informations de première importance. Il insiste sur la nécessité de créer une culture organisationnelle favorisant la libre communication, sans peur de répercussions
Le fait de ne pas transmettre des informations peut avoir des effets négatifs sur une entreprise.
La peur de ne pas partager des informations critiques peut conduire à des décisions médiocres en raison du manque de données essentielles. Cela peut aussi créer un climat de peur et de suspicion parmi le personnel, ce qui peut limiter la collaboration et l'innovation.
La relation de confiance entre les membres de l'équipe et la direction peut être mise en péril, ce qui peut nuire à la réactivité face aux problèmes. Les collaborateurs pourraient également éprouver de la démoralisation et moins d'engagement si leurs tentatives de communication sont ignorées ou sanctionnées.
Pour d'éviter les effets du syndrome du porteur de mauvaises nouvelles, il est essentiel de favoriser la transparence et le soutien, afin de permettre la libre circulation de l'information sans crainte de représailles.
Afin de résoudre efficacement ce syndrome, voici quelques bonnes pratiques : favoriser la transparence en instaurant un climat sécurisé pour le partage d'informations, former les responsables à réagir de manière constructive, mettre en place des canaux de communication sécurisés, reconnaître et récompenser la transparence, encourager une culture de soutien et d'apprentissage, maintenir une communication régulière, et établir des politiques claires pour protéger les informateurs.
En mettant en place ces méthodes, les entreprises peuvent encourager un échange fluide des données, vital pour une prise de décision productive et une ambiance de travail positive.
La relation de confiance entre les membres de l'équipe et la direction peut être mise en péril, ce qui peut nuire à la réactivité face aux problèmes. Les collaborateurs pourraient également éprouver de la démoralisation et moins d'engagement si leurs tentatives de communication sont ignorées ou sanctionnées.
Pour d'éviter les effets du syndrome du porteur de mauvaises nouvelles, il est essentiel de favoriser la transparence et le soutien, afin de permettre la libre circulation de l'information sans crainte de représailles.
Afin de résoudre efficacement ce syndrome, voici quelques bonnes pratiques : favoriser la transparence en instaurant un climat sécurisé pour le partage d'informations, former les responsables à réagir de manière constructive, mettre en place des canaux de communication sécurisés, reconnaître et récompenser la transparence, encourager une culture de soutien et d'apprentissage, maintenir une communication régulière, et établir des politiques claires pour protéger les informateurs.
En mettant en place ces méthodes, les entreprises peuvent encourager un échange fluide des données, vital pour une prise de décision productive et une ambiance de travail positive.
A propos de Jean-Pierre Larcher
Jean-Pierre Larcher est un expert en intelligence économique et stratégique. Il a une réelle expérience en France et à l'étranger avec des acteurs publics et privés, ayant travaillé au GERPA, au Centre de Prospective et d'Evaluation du Ministère de la Recherche, à la CCI Rouen, et chez SCIP France.
Il a dirigé des initiatives telles que "Maîtrise de l'Information" et a créé le Club Open Innovation Normandie. Il est également responsable du département d'Études et Prospective de l'Agence régionale d'Innovation de Basse-Normandie, et intervient dans des séminaires d'Intelligence Territoriale à l'EM Normandie.
Il organise des séminaires et des conférences sur l'intelligence économique pour promouvoir une meilleure utilisation de l'information stratégique.
Il a dirigé des initiatives telles que "Maîtrise de l'Information" et a créé le Club Open Innovation Normandie. Il est également responsable du département d'Études et Prospective de l'Agence régionale d'Innovation de Basse-Normandie, et intervient dans des séminaires d'Intelligence Territoriale à l'EM Normandie.
Il organise des séminaires et des conférences sur l'intelligence économique pour promouvoir une meilleure utilisation de l'information stratégique.
A propos de Christophe Bisson
Gardez le contact
Christophe Bisson, directeur scientifique du programme MSc Business Consulting and Decision Intelligence de SKEMA Paris, est intervenu sur le thème « Intelligence économique et stratégique augmentée : le cas d'une entreprise de haute technologie ».
Ce Master of Science propose une formation en conseil aux entreprises, combinant des compétences en intelligence décisionnelle, en analyse commerciale et en gestion de projet en collaboration avec des entreprises comme Thales, Capgemini et Schneider Electric. Christophe Bisson souligne la nécessité d'adapter l'intelligence stratégique aux réalités du marché et aux avancées technologiques pour assurer la compétitivité.
Le 25 septembre, le campus Grand Paris a accueilli une conférence sur l’intelligence économique et stratégique, organisée par le MSc Business Consulting & Decision Intelligence avec l'intervention de Jean-Michel Larcher qui a présenté "Le syndrome du porteur de nouvelles en Intelligence Economique et Stratégique."