Ce matin-là, dans l’entreprise, tout semblait ordinaire : écrans allumés, notifications à la chaîne, réunions en cascade. Pourtant, quelque chose avait changé. Derrière la routine numérique, on percevait une attention nouvelle : des regards qui se lèvent, une écoute réelle, un “ça va ?” qui n’attend pas une réponse automatique.
Dans un monde saturé d’algorithmes et d’automatismes, ce sont parfois ces gestes simples qui rappellent que l’intelligence la plus décisive reste humaine
A quoi sert une performance qui oublie le sens ?
La révolution technologique, et plus encore l’irruption de l’intelligence artificielle, réinterrogent nos modèles économiques, managériaux et sociaux. L’efficacité, la vitesse et la donnée tendent à devenir les nouveaux totems de la performance. Mais à quoi sert une performance qui oublie le sens, qui érode la confiance ou qui fragilise les liens ?
Si l’intelligence artificielle peut amplifier notre capacité d’analyse, elle ne remplacera jamais l’intuition, l’écoute, la créativité ou la bienveillance, ces formes d’intelligence relationnelle qui structurent le collectif
Si l’intelligence artificielle peut amplifier notre capacité d’analyse, elle ne remplacera jamais l’intuition, l’écoute, la créativité ou la bienveillance, ces formes d’intelligence relationnelle qui structurent le collectif
« Parler est un besoin, écouter est un art. »
Car la bienveillance, ce n’est pas un luxe ni une posture morale : c’est une stratégie d’avenir.
Dans l’entreprise comme dans les associations, les armées ou les collectivités, elle crée la cohésion, soutient la créativité et nourrit la résilience. Là où la peur du déclassement ou l’épuisement numérique s’installent, la bientraitance réintroduit de la confiance et redonne du souffle. Elle rappelle qu’il ne peut y avoir de performance sans attention portée à l’humain.
C’est ici que l’innovation sociale rejoint la technologie : non pour s’y opposer, mais pour en réorienter la finalité. Imaginer une intelligence artificielle au service des apprentissages, de la santé au travail, du lien social, c’est faire œuvre de politique au sens noble. C’est choisir de conjuguer progrès et humanité, de penser la technologie non comme une puissance autonome, mais comme un prolongement de notre responsabilité collective. Goethe écrivait : « Parler est un besoin, écouter est un art. » Cet art devient vital dans une époque où la voix humaine risque d’être couverte par le bruit des algorithmes.
Écouter, c’est déjà innover. Prendre soin, c’est déjà transformer.
Dans l’entreprise comme dans les associations, les armées ou les collectivités, elle crée la cohésion, soutient la créativité et nourrit la résilience. Là où la peur du déclassement ou l’épuisement numérique s’installent, la bientraitance réintroduit de la confiance et redonne du souffle. Elle rappelle qu’il ne peut y avoir de performance sans attention portée à l’humain.
C’est ici que l’innovation sociale rejoint la technologie : non pour s’y opposer, mais pour en réorienter la finalité. Imaginer une intelligence artificielle au service des apprentissages, de la santé au travail, du lien social, c’est faire œuvre de politique au sens noble. C’est choisir de conjuguer progrès et humanité, de penser la technologie non comme une puissance autonome, mais comme un prolongement de notre responsabilité collective. Goethe écrivait : « Parler est un besoin, écouter est un art. » Cet art devient vital dans une époque où la voix humaine risque d’être couverte par le bruit des algorithmes.
Écouter, c’est déjà innover. Prendre soin, c’est déjà transformer.
La deuxième table ronde, (la première ayant eu lieu en juin dernier), aura lieu à l’Université Bretagne Sud – Campus de Tohannic à Vannes le 13 novembre entre 17 H 45 et 20H, sur la thématique « Croiser les intelligences pour innover autrement : économique, artificielle & sociale » en proposant de prolonger cette réflexion, autour d’acteurs de terrain qui partageront leurs pratiques, leurs défis et leurs solutions.
Parmi les interventions au programme :
Emmanuel Frenod Vice-Président « Pilotage Système d’Information & Intelligence Artificielle LMBA « UMR 6205 » Université Bretagne Sud,
Samuel Le Port fondateur de Treebal (première application de messagerie instantanée éthique et éco-responsable),
Mr Martin Michel président du RCV (Rugby Club de Vannes), LcL
Thomas Debesse de la Délégation Militaire du Morbihan, Ludovic Ruppe fondateur de l’association « frères d’âmes »,
Mme karine Schmid (Déléguée à l’Économie sociale et solidaire, logement social Mairie de Vannes), Hervé Le Berre (Jubiliz), Alain foret (Adomega) ... et,
Jean-Marie Huriez fondateur de l’école de cirque Équilibres (la plus grande école de cirque en Bretagne).
Inscription obligatoire par e-mail : table.ronde@see-d.fr
Parmi les interventions au programme :
Emmanuel Frenod Vice-Président « Pilotage Système d’Information & Intelligence Artificielle LMBA « UMR 6205 » Université Bretagne Sud,
Samuel Le Port fondateur de Treebal (première application de messagerie instantanée éthique et éco-responsable),
Mr Martin Michel président du RCV (Rugby Club de Vannes), LcL
Thomas Debesse de la Délégation Militaire du Morbihan, Ludovic Ruppe fondateur de l’association « frères d’âmes »,
Mme karine Schmid (Déléguée à l’Économie sociale et solidaire, logement social Mairie de Vannes), Hervé Le Berre (Jubiliz), Alain foret (Adomega) ... et,
Jean-Marie Huriez fondateur de l’école de cirque Équilibres (la plus grande école de cirque en Bretagne).
Inscription obligatoire par e-mail : table.ronde@see-d.fr
Remerciements
Remerciements à l’Université Bretagne Sud et See-D
"Parce qu’au fond, le véritable défi n’est pas de faire mieux que l’intelligence artificielle,
mais de rester pleinement humains avec elle."
"Parce qu’au fond, le véritable défi n’est pas de faire mieux que l’intelligence artificielle,
mais de rester pleinement humains avec elle."
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A propos de ..
Olivier Cardini est un expert en intelligence économique, fondateur du cabinet C.Consulting Assistance en 1996 en Bretagne. Il est membre du CLUSIR Bretagne, spécialisé dans le renforcement de la cohésion d'équipe, le développement d'une culture d'intelligence économique et la construction de résilience face aux risques.
En tant que consultant en intelligence d'affaires, il offre un accompagnement personnalisé pour soutenir les entreprises tout en protégeant leurs intérêts et leur capital humain.
Olivier Cardini est un professionnel polyvalent et expérimenté.
Il est membre de l'Académie d'Intelligence économique.