Signature de l’ouvrage La Boîte à Outils de la Communication de Crise de Natalie Maroun, (Dunod, 2025)
La Librairie de la REF 2025 : les grandes plumes au rendez-vous !
La Librairie se tiendra les 27 et 28 août au stade Roland-Garros, dans le cadre des grands rendez-vous du MEDEF
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La Librairie se tiendra les 27 et 28 août au stade Roland-Garros, dans le cadre des grands rendez-vous du MEDEF
Dans ce contexte, Natalie Maroun, fondatrice du cabinet Element et ambassadrice européenne du Pacte pour le Climat, sera présente à la REF pour une séance de signature de son ouvrage La Boîte à Outils de la Communication de Crise, paru aux éditions Dunod il y a quelques mois.
Une présence hautement symbolique, qui souligne sa conviction forte : la communication de crise est devenue un pilier de la gouvernance contemporaine, tant pour les entreprises que pour les institutions publiques.
Une présence hautement symbolique, qui souligne sa conviction forte : la communication de crise est devenue un pilier de la gouvernance contemporaine, tant pour les entreprises que pour les institutions publiques.
La parole comme levier de résilience
En parcourant les grands débats de cette édition 2025 — qu’ils portent sur la souveraineté énergétique, la data, le débat démocratique ou la transition écologique — une idée revient : la crise n’est plus une anomalie, elle est devenue structurelle. Dans un monde d’incertitudes, les organisations doivent non seulement agir vite, mais aussi prendre la parole avec justesse, cohérence et responsabilité.
C’est précisément ce que propose La Boîte à Outils de la Communication de Crise. En 55 fiches pratiques, enrichies de matrices, de checklists et de cas concrets, l’ouvrage donne aux communicants, dirigeants et élus des repères immédiatement activables pour anticiper, gérer et surmonter l’inconnu.
Natalie Maroun y défend une approche à la fois stratégique, opérationnelle et humaine : la parole en crise n’est pas un artifice, c’est un acte de service public. Dans un monde saturé d’émotions et de désinformation, elle permet de préserver le lien social, d’endiguer les rumeurs et de restaurer la confiance.
C’est précisément ce que propose La Boîte à Outils de la Communication de Crise. En 55 fiches pratiques, enrichies de matrices, de checklists et de cas concrets, l’ouvrage donne aux communicants, dirigeants et élus des repères immédiatement activables pour anticiper, gérer et surmonter l’inconnu.
Natalie Maroun y défend une approche à la fois stratégique, opérationnelle et humaine : la parole en crise n’est pas un artifice, c’est un acte de service public. Dans un monde saturé d’émotions et de désinformation, elle permet de préserver le lien social, d’endiguer les rumeurs et de restaurer la confiance.
Réhabiliter une fonction de l’ombre
Longtemps cantonnée à l’urgence ou au “damage control”, la communication de crise est encore souvent marginalisée dans les structures de décision. Natalie Maroun plaide pour une reconnaissance pleine et entière de ce métier, notamment dans les collectivités, les ministères, les agences sanitaires ou les entreprises à mission.
La crise ne se joue pas uniquement dans la gestion, mais aussi dans le récit qui l’entoure, les silences qui l’alimentent, ou les responsabilités qui s’effacent. Le communicant de crise est, dans cette perspective, un artisan de vérité, un médiateur des émotions collectives, un “gardien de l’écoute” quand tout vacille.
En cela, il devrait être reconnu comme un acteur stratégique au service de l’intérêt général.
La crise ne se joue pas uniquement dans la gestion, mais aussi dans le récit qui l’entoure, les silences qui l’alimentent, ou les responsabilités qui s’effacent. Le communicant de crise est, dans cette perspective, un artisan de vérité, un médiateur des émotions collectives, un “gardien de l’écoute” quand tout vacille.
En cela, il devrait être reconnu comme un acteur stratégique au service de l’intérêt général.
Un signal politique et professionnel
La présence de La Boîte à Outils de la Communication de Crise à La REF est un signal fort : celui que les questions de parole, de confiance et de lisibilité deviennent décisives pour l’avenir économique, écologique et démocratique du pays.
Alors que les crises s’enchaînent à un rythme inédit, les décideurs ne peuvent plus se contenter de réponses improvisées ou déléguées à la dernière minute. Ils ont besoin d’outils, de méthodes, de grilles de lecture. Ce que propose l’ouvrage, c’est un langage commun pour affronter ensemble l’incertitude, sans renoncer à l’éthique, ni à la cohérence.
Alors que les crises s’enchaînent à un rythme inédit, les décideurs ne peuvent plus se contenter de réponses improvisées ou déléguées à la dernière minute. Ils ont besoin d’outils, de méthodes, de grilles de lecture. Ce que propose l’ouvrage, c’est un langage commun pour affronter ensemble l’incertitude, sans renoncer à l’éthique, ni à la cohérence.
Une boîte à outils pour faire face… et rebâtir
Au-delà de l’événement éditorial, la signature de l’ouvrage à La REF vient rappeler que la parole publique en crise engage plus que la réputation : elle engage la confiance collective, la cohésion sociale, et parfois même la paix civile.
Comme l’écrit Yves Charmont dans sa contribution insérée dans l’ouvrage :
« Les crises passent et la mésentente reste. Il y a à l’évidence des dépôts successifs d’incommunication, et un des défis de la communication publique est de rétablir le dialogue après une crise, en tenant compte de celles qui l’ont précédée. »
C’est précisément ce défi qu’entend relever La Boîte à Outils de la Communication de Crise.
Faire du communicant un acteur central de la résilience. Offrir aux décideurs un appui structurant.
Et faire de la communication en temps de crise une discipline à part entière, au service du bien commun.
Comme l’écrit Yves Charmont dans sa contribution insérée dans l’ouvrage :
« Les crises passent et la mésentente reste. Il y a à l’évidence des dépôts successifs d’incommunication, et un des défis de la communication publique est de rétablir le dialogue après une crise, en tenant compte de celles qui l’ont précédée. »
C’est précisément ce défi qu’entend relever La Boîte à Outils de la Communication de Crise.
Faire du communicant un acteur central de la résilience. Offrir aux décideurs un appui structurant.
Et faire de la communication en temps de crise une discipline à part entière, au service du bien commun.