Le contexte
Le lundi 3 novembre signe le succès retentissant d'une campagne de financement participatif lancée par l'emblématique verrerie française Duralex en novembre 2025. La verrerie française Duralex a levé cinq millions d’euros en six heures lors d’une campagne de financement participatif sur Lita, avant de voir les intentions grimper à vingt millions en deux jours. Face à l’afflux de plus de 21 000 investisseurs, l’entreprise a plafonné les contributions à 1 000 euros, un succès salué par son directeur général François Marciano.
L'article de Léopold Chipot met en lumière le sauvetage de Duralex en insistant sur la dimension politique de sa transformation en SCOP, qui a joué un rôle décisif dans son redressement. Les premiers résultats financiers confirment cette dynamique, avec un chiffre d’affaires attendu en nette progression en 2025. Au-delà du cas particulier, cet article invite à réfléchir aux mécanismes souvent invisibles de la réindustrialisation française et à leur portée réelle.
Sa transformation en SCOP a renforcé cette résilience en impliquant directement les salariés dans la survie et la performance de l’usine, réduisant l’absentéisme et consolidant la confiance des partenaires financiers.
Ce modèle, fondé sur la combinaison d’une identité forte, d’un produit différencié et d’une gouvernance partagée, contraste avec les fragilités d’autres sites industriels comme Ascoval, minés par la volatilité des marchés mondiaux et l’instabilité de leur actionnariat.
Ce modèle, fondé sur la combinaison d’une identité forte, d’un produit différencié et d’une gouvernance partagée, contraste avec les fragilités d’autres sites industriels comme Ascoval, minés par la volatilité des marchés mondiaux et l’instabilité de leur actionnariat.

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