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Analyse médias traditionnels : print, audiovisuel, online
Période 10 juillet au 9 septembre et le 10 septembre
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Période 10 juillet au 9 septembre et le 10 septembre
Des Gilets Jaunes en passant par #C’estNicolasQuiPaie, #BloquonsTout, genèse d’un mouvement dans la presse et sur les réseaux sociaux
Du 10 juillet au 9 septembre 2025, les conversations sur les réseaux sociaux et médias traditionnels en France ont été dominées par le mécontentement politique et économique, principalement centré sur les mouvements « #Bloquonstout » et «#CestNicolasQuiPaie », ainsi que sur les discussions concernant les « Gilets Jaunes ». Rapidement, les réseaux sociaux jouent un rôle crucial dans l'organisation et la mobilisation des soutiens. Les mentions Gilets jaunes vont connaître un pic à plus de 30 000 le 20 juillet puis laisseront le leadership à #BloquonsTout.
Chiffres clés des requêtes et courbe de médiatisation « Bloquons Tout / 10 septembre » vs « C’est Nicolas qui paie » et Gilets Jaunes sur les deux derniers mois (du 14 juillet au 9 septembre.

Pic du 20 juillet : la potentielle résurgence des Gilets J
Thèmes clés :
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La résurgence du mouvement des Gilets Jaunes
Elle est évoquée comme une réponse potentielle au climat politique actuel en France, notamment au vu de la popularité historiquement basse du président Macron. Les appels à une mobilisation nationale le 10 septembre gagnent en popularité, reprenant l'esprit des premières manifestations des Gilets Jaunes. De nombreux citoyens se disent prêts à descendre à nouveau dans la rue, poussés par leur frustration face aux politiques économiques et aux injustices perçues. Le gouvernement semble préoccupé par ce soulèvement potentiel, craignant une convergence de divers groupes mécontents, dont les Gilets Jaunes et d'autres mouvements comme « Les Gueux » et « Nicolas Qui Paie »
Raviver l'esprit des Gilets Jaunes
Alors que le paysage politique français évolue, les citoyens sont de plus en plus nombreux à craindre l'émergence d'une nouvelle vague de protestations, comparable à celle des Gilets jaunes. Les mesures d'austérité du gouvernement et le mécontentement croissant face aux inégalités économiques alimentent les discussions sur la mobilisation. De nombreux utilisateurs des réseaux sociaux se mobilisent autour d'une action collective le 10 septembre, suggérant que les frustrations à l'origine des premières manifestations des Gilets jaunes sont toujours bien présentes. La possibilité d'un front uni entre divers groupes, notamment les agriculteurs et d'autres mouvements syndicaux, est perçue comme une menace importante pour le gouvernement actuel.
Le 23 juillet #BloquonsTout surpasse les Gilets Jaunes
Thèmes clés
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Impact et scepticisme
À l'approche de la date butoir, les discussions sur l'impact potentiel du mouvement s'intensifient. Certains commentateurs expriment leur scepticisme quant à son efficacité, se demandant si une journée d'inaction peut conduire à un changement significatif. D'autres soutiennent que l'appel du collectif à un arrêt total de l'activité économique pourrait servir de message fort contre les politiques gouvernementales perçues comme néfastes. Les partisans du mouvement estiment qu'un front uni peut remettre en question le statu quo et exiger des comptes de la part des dirigeants.
Réactions diverses
Le mouvement a suscité des réactions diverses sur les réseaux sociaux, certains exprimant leur solidarité tandis que d'autres s'inquiétaient d'éventuelles affiliations politiques. On craint que le mouvement ne soit détourné par des groupes ou des partis politiques extrémistes, ce qui pourrait compromettre son objectif initial. Néanmoins, de nombreux participants sont déterminés à préserver le caractère populaire du mouvement, en privilégiant l'action collective et la solidarité entre divers groupes insatisfaits du paysage politique actuel.
Volume sur les médias et réseaux sociaux et analyse des conversations et contenus médias
X -Twitter- reste le réseau social sur lequel les conversations sont les plus nombreuses, suivi par Facebook et Reddit. L’intérêt des médias débute lentement et le 17 août on comptabilis 72 mentions dans les médias audiovisuels et 130 dans la presse online. Le premier pic significatif arrive le 25 août avec près de 500 mentions dans les médias audiovisuels et plus de 700 dans la presse online pour une petite dizaine sur le print. La presse en ligne sera celle qui évoquera le plus les trois sujets #BloquonsTout, #CestNicolasQuiPaie et Gilets Jaunes. La veille de la journée de manifestation, le 9 septembre, elle culminera à plus de 3 000 mentions, c’est quasiment 3,5 fois plus que la presse audiovisuelle (859).

Focus sur médias traditionnels
17 août : les médias commencent lentement à s’intéresser au sujet :
72 mentions dans les médias audiovisuels et 130 dans la presse online
Thèmes clés
72 mentions dans les médias audiovisuels et 130 dans la presse online
Thèmes clés
Large soutien à l'action collective
Jean-Luc Mélenchon et la France Insoumise promeuvent activement le mouvement du 10 septembre, qui vise à stopper toute activité en France. Cet appel à l'action se présente comme une réponse aux mesures d'austérité proposées par le Premier ministre encore en poste, François Bayrou, que beaucoup considèrent comme préjudiciables au bien-être public
Complexité du mécontentement public
Le mouvement du 10 septembre, « Bloquons Tout », n'est pas seulement une protestation contre les coupes budgétaires, mais aussi une plateforme pour des revendications sociales plus larges. Il a été constaté que l'initiative a recueilli le soutien de groupes divers, y compris des personnes aux opinions politiques extrêmes. Cette complexité reflète la nature multiforme du mécontentement public en France, où les enjeux économiques se confondent avec les préoccupations de justice sociale. Les organisateurs du mouvement utilisent les réseaux sociaux pour mobiliser les participants, dans l'espoir de créer un impact significatif lors de cette journée d'action, qui, espèrent-ils, trouvera un large écho auprès d'un large public
Implications politiques du mouvement
À l'approche du mouvement du 10 septembre, le paysage politique français devient de plus en plus tendu. Jean-Luc Mélenchon a appelé à la censure du Premier ministre François Bayrou, présentant le mouvement comme une réponse nécessaire à ce qu'il qualifie de « projet de budget dévastateur ». Cette mobilisation est perçue comme un moment crucial pour la gauche, avec le potentiel de remodeler les alliances et les stratégies politiques.
Premier pic significatif du 25 août : près de 500 mentions dans les médias audiovisuels
et plus de 700 dans la presse online
Thèmes clés
et plus de 700 dans la presse online
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Pression politique et coupes budgétaires
Le gouvernement de François Bayrou est soumis à une forte pression à l'approche d'un vote de confiance crucial le 8 septembre, quelques jours avant les manifestations prévues le 10 septembre. Le projet de budget du Premier ministre, qui prévoit des coupes budgétaires substantielles et la suppression de jours fériés, a suscité une vive indignation dans divers secteurs, notamment les syndicats et les partis politiques. La mobilisation, marquée par des appels à « Bloquons tout », vise à unir les citoyens contre les injustices perçues et les mesures d'austérité.
Soutien du public aux manifestations
Les manifestations du 10 septembre, organisées sous le slogan « Bloquons tout », devraient bénéficier d'un soutien public important, les sondages indiquant qu'une majorité de la population française est favorable aux objectifs du mouvement.
Une nouvelle vague d'activisme
Les manifestations du 10 septembre prochain sont présentées comme un moment crucial pour les mouvements sociaux en France, rappelant les Gilets Jaunes. L'appel à l'action, qui a pris de l'ampleur sur les réseaux sociaux, souligne la nécessité d'une action collective contre les mesures d'austérité gouvernementales. La mobilisation ne se limite pas aux revendications économiques, mais vise également à répondre à des enjeux sociétaux plus profonds, ce qui en fait un moment charnière pour l'engagement politique et l'activisme en France.
Agitation politique à l'approche des manifestations
Les manifestations, organisées sous le slogan « Bloquons tout », devraient rassembler divers groupes sociaux et politiques dans une démonstration de force contre les mesures d'austérité du gouvernement, suscitant des inquiétudes quant à la stabilité du gouvernement Bayrou.
A la veille de la manifestation : Le 9 septembre, plus de 3 000 mentions dans la presse online et plus de 850 dans l’audiovisuel
Thèmes clés
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Mobilisation contre les politiques gouvernementales
Avec environ 100 000 participants attendus, les autorités se préparent à d'éventuelles perturbations, notamment des blocages et des grèves dans divers secteurs. Le mouvement a recueilli le soutien de diverses factions politiques, témoignant d'un mécontentement généralisé face à la gestion des questions économiques et de justice sociale par l'administration actuelle. La situation est encore compliquée par la récente démission du Premier ministre François Bayrou, qui a laissé un vide politique tandis que le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, se prépare à relever ce défi majeur.
Le gouvernement se prépare aux troubles
Avec 80 000 policiers et gendarmes déployés dans tout le pays, les autorités sont en état d'alerte maximale face à d'éventuelles violences et perturbations. Le mouvement, qui a gagné en popularité auprès de divers groupes sociaux, devrait se traduire par de nombreuses actions, notamment des blocages de routes, de transports publics et d'infrastructures essentielles.
Mouvement populaire décentralisé
Le mouvement « Bloquons Tout » se caractérise par sa décentralisation, sans organisateur unique, ce qui complexifie la stratégie de réponse du gouvernement. Les participants sont appelés à prendre part à diverses formes de protestation, allant des manifestations pacifiques à des actions plus perturbatrices. À la veille du 10 septembre, le gouvernement est confronté au défi de gérer la sécurité publique tout en s'attaquant aux enjeux sous-jacents à cette mobilisation.
Implications politiques des manifestations
À l'approche du mouvement « Bloquons Tout », les analystes politiques observent les implications du récent remaniement ministériel, notamment la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre. Son leadership sera mis à l'épreuve face aux défis posés par le mécontentement généralisé de la population.
Griefs sociaux et démocratie
Alors que les citoyens se préparent à descendre dans la rue, ce mouvement a suscité des discussions sur l'avenir de la démocratie en France. De nombreux participants expriment le souhait d'un dialogue politique plus inclusif et d'une plus grande responsabilisation de la part de leurs dirigeants.
Focus sur la journée du 10 septembre
Médias vs réseaux sociaux : le 10 septembre : Macron/Bayrou dans la presse, #BloquonsTout sur les réseaux sociaux

Le traitement des sujets a été différent sur les 2 typologies de médias. La presse traditionnelle a surtout couvert le sujet politique avec la démission du 1er ministre, puis Gaza. #BloquonsTout n’arrive qu’en 3ème devançant la thématique de l’Ukraine et n’a jamais été positionné en n° 1.
En revanche sur les réseaux sociaux, la conversation autour de #Bloquonstout a explosé : le 10 septembre, les mentions de la requête « #Bloquonstout » ont culminé à 390 349 publications, soit une hausse de 2087 % par rapport à la médiane quotidienne. On note un pic de 32 000 mentions à 13h surpassant le duo politique qui à la même heure culminait à un peu plus de 24 000 posts. On en comptait moitié moins pour Gaza pendant que l’Ukraine plafonnait à 4 500. Mais, si le sujet est Numéro 1 le jour même, il retombe vite, et les autres thématiques repassent devant dès le lendemain (Gaza en tête).
Les conversations ont été principalement nourries par les discussions autour du hashtag #10septembre2025, d’autres hashtags liés aux manifestations comme #onbloquetout et #manifestation.
En revanche sur les réseaux sociaux, la conversation autour de #Bloquonstout a explosé : le 10 septembre, les mentions de la requête « #Bloquonstout » ont culminé à 390 349 publications, soit une hausse de 2087 % par rapport à la médiane quotidienne. On note un pic de 32 000 mentions à 13h surpassant le duo politique qui à la même heure culminait à un peu plus de 24 000 posts. On en comptait moitié moins pour Gaza pendant que l’Ukraine plafonnait à 4 500. Mais, si le sujet est Numéro 1 le jour même, il retombe vite, et les autres thématiques repassent devant dès le lendemain (Gaza en tête).
Les conversations ont été principalement nourries par les discussions autour du hashtag #10septembre2025, d’autres hashtags liés aux manifestations comme #onbloquetout et #manifestation.
Ces volumes de contenus se retrouvent traduits en taux de pression. Dans les médias traditionnels, il est 2,5 fois moins important pour #BloquonsTout (4,92 %) que pour les informations concernant Macron/Bayrou (12,7 %) quand Gaza en affiche un à 6,44 %.
En revanche sur les réseaux sociaux #BloquonsTout culmine à plus de 19 %, surpassant Macron/Bayrou (16,52 %) et Gaza (près de 10 %)
En revanche sur les réseaux sociaux #BloquonsTout culmine à plus de 19 %, surpassant Macron/Bayrou (16,52 %) et Gaza (près de 10 %)
Focus 10 septembre sur X - Le jour J, #BloquonsTout explose à près de 402 000 mentions sur X. Les thèmes clés : Une mobilisation massive
Le mouvement « Bloquons Tout » du 10 septembre a suscité une mobilisation importante dans toute la France, avec 175 000 participants recensés selon le ministère de l'Intérieur. Les manifestations ont été marquées par diverses actions, notamment des blocages d'écoles et des perturbations des transports en commun. Si certaines zones ont connu des manifestations pacifiques, d'autres ont été le théâtre d'affrontements violents entre manifestants et forces de l'ordre, entraînant de nombreuses arrestations et blessés. Le mouvement visait à exprimer le mécontentement généralisé face aux mesures d'austérité gouvernementales et au statu quo politique, ciblant particulièrement l'administration du Premier ministre Macron. La journée a été marquée par un mélange de solidarité et de chaos, reflétant de profondes divisions sociétales.
Les Tensions à Paris
À Paris, les tensions se sont intensifiées lors des manifestations « Bloquons Tout », notamment autour de la gare du Nord et du lycée Hélène-Boucher, où des affrontements ont opposé étudiants et forces de l'ordre. Des rapports ont fait état de l'utilisation de gaz lacrymogènes par la police pour disperser la foule, faisant des blessés parmi les manifestants et les forces de l'ordre.
Des enjeux sociétaux plus vastes
Les manifestations du 10 septembre ne se limitaient pas à des revendications immédiates, mais reflétaient également des enjeux sociétaux plus vastes, notamment les inégalités économiques et le mécontentement politique. De nombreux participants ont exprimé leur frustration face aux mesures d'austérité, à la hausse du coût de la vie et à la négligence perçue du gouvernement envers les citoyens de la classe ouvrière.
La réponse du gouvernement
La journée d'action a été marquée par une forte présence policière, avec environ 80 000 agents déployés dans tout le pays pour encadrer les manifestations. Malgré cela, de nombreux blocages et manifestations ont eu lieu, témoignant d'une forte mobilisation de la population.
Le rôle des réseaux sociaux
Le mouvement « Bloquons Tout » a également suscité des débats sur le rôle des réseaux sociaux dans l'organisation des manifestations. De nombreuses actions ont été coordonnées via des plateformes en ligne, témoignant d'une évolution dans la manière dont les mouvements populaires mobilisent le soutien. Cependant, ce recours aux réseaux sociaux a également suscité des inquiétudes quant à la désinformation et au potentiel de radicalisation au sein des mouvements de protestation. Les événements du 10 septembre ont illustré le pouvoir de la communication numérique dans l'évolution du militantisme et du discours public contemporains.
Ce mouvement a cristallisé toutes formes de revendications émanant d’une population disparate tant par ses opinions politiques que par sa catégorie socio-professionnelle. Né sur les réseaux sociaux, il a rassemblé des citoyens et citoyennes « dans la vraie vie » en court-circuitant des institutions comme les syndicats ou leader politiques et ce, malgré les tentatives de certains de se greffer sur ce mouvement.
Il s’est passé un certain temps avant que les médias ne s’emparent du sujet marquant un décalage avec les sujets qui font réagir les Français et Françaises et ceux abordés par les médias. Néanmoins, si ce mouvement a connu un large écho auprès des citoyens, hormis le jour du 10 septembre, ces derniers étaient davantage préoccupés par la situation politique, réconciliant les centres d’intérêt abordés sur les réseaux sociaux et dans les médias.
Les Tensions à Paris
À Paris, les tensions se sont intensifiées lors des manifestations « Bloquons Tout », notamment autour de la gare du Nord et du lycée Hélène-Boucher, où des affrontements ont opposé étudiants et forces de l'ordre. Des rapports ont fait état de l'utilisation de gaz lacrymogènes par la police pour disperser la foule, faisant des blessés parmi les manifestants et les forces de l'ordre.
Des enjeux sociétaux plus vastes
Les manifestations du 10 septembre ne se limitaient pas à des revendications immédiates, mais reflétaient également des enjeux sociétaux plus vastes, notamment les inégalités économiques et le mécontentement politique. De nombreux participants ont exprimé leur frustration face aux mesures d'austérité, à la hausse du coût de la vie et à la négligence perçue du gouvernement envers les citoyens de la classe ouvrière.
La réponse du gouvernement
La journée d'action a été marquée par une forte présence policière, avec environ 80 000 agents déployés dans tout le pays pour encadrer les manifestations. Malgré cela, de nombreux blocages et manifestations ont eu lieu, témoignant d'une forte mobilisation de la population.
Le rôle des réseaux sociaux
Le mouvement « Bloquons Tout » a également suscité des débats sur le rôle des réseaux sociaux dans l'organisation des manifestations. De nombreuses actions ont été coordonnées via des plateformes en ligne, témoignant d'une évolution dans la manière dont les mouvements populaires mobilisent le soutien. Cependant, ce recours aux réseaux sociaux a également suscité des inquiétudes quant à la désinformation et au potentiel de radicalisation au sein des mouvements de protestation. Les événements du 10 septembre ont illustré le pouvoir de la communication numérique dans l'évolution du militantisme et du discours public contemporains.
Ce mouvement a cristallisé toutes formes de revendications émanant d’une population disparate tant par ses opinions politiques que par sa catégorie socio-professionnelle. Né sur les réseaux sociaux, il a rassemblé des citoyens et citoyennes « dans la vraie vie » en court-circuitant des institutions comme les syndicats ou leader politiques et ce, malgré les tentatives de certains de se greffer sur ce mouvement.
Il s’est passé un certain temps avant que les médias ne s’emparent du sujet marquant un décalage avec les sujets qui font réagir les Français et Françaises et ceux abordés par les médias. Néanmoins, si ce mouvement a connu un large écho auprès des citoyens, hormis le jour du 10 septembre, ces derniers étaient davantage préoccupés par la situation politique, réconciliant les centres d’intérêt abordés sur les réseaux sociaux et dans les médias.
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