L’incertitude, les crises systémiques et la montée des interdépendances obligent l’intelligence économique à ne peut plus se limiter à une logique de confrontation. Longtemps perçue comme une arme de guerre économique, elle tend aujourd’hui à se réinventer en outil de coopération et de résilience collective.
Julien Poisson, chercheur et spécialiste de l’intelligence économique, propose dans son article publié sur The Conversation une réflexion stimulante : et si la véritable force des entreprises et des territoires résidait désormais dans leur capacité à partager l’information, à construire des alliances et à développer une intelligence collective ?
Julien Poisson, chercheur et spécialiste de l’intelligence économique, propose dans son article publié sur The Conversation une réflexion stimulante : et si la véritable force des entreprises et des territoires résidait désormais dans leur capacité à partager l’information, à construire des alliances et à développer une intelligence collective ?
La compétition n’a pas disparu, mais elle ne peut plus être l’unique horizon.
À travers ses analyses, Julien Poisson nous invite à repenser l’intelligence économique non plus seulement comme une arme de confrontation, mais aussi comme un outil de coopération et de résilience.
Les crises se succèdent et l’incertitude devient la norme, l’avenir semble appartenir à ceux qui sauront transformer l’information en un bien partagé, au service des entreprises comme des territoires.
La compétition n’a pas disparu, mais elle ne peut plus être l’unique horizon. En ouvrant la voie à une intelligence collective, Julien Poisson esquisse un modèle où la force des acteurs économiques se mesure à leur capacité à bâtir des alliances durables. Une perspective qui, au-delà des stratégies, interroge notre manière de concevoir le progrès et la solidarité dans l’économie de demain.
Les crises se succèdent et l’incertitude devient la norme, l’avenir semble appartenir à ceux qui sauront transformer l’information en un bien partagé, au service des entreprises comme des territoires.
La compétition n’a pas disparu, mais elle ne peut plus être l’unique horizon. En ouvrant la voie à une intelligence collective, Julien Poisson esquisse un modèle où la force des acteurs économiques se mesure à leur capacité à bâtir des alliances durables. Une perspective qui, au-delà des stratégies, interroge notre manière de concevoir le progrès et la solidarité dans l’économie de demain.
Création de réseaux d’acteurs apprenants
La recherche doctorale récente, notamment celle de Poisson et coll. en 2025, montre que l’intelligence économique est appropriée de manière variée selon le profil des dirigeants.
Elle est souvent mobilisée pour construire des relations et se doter de la force collective nécessaire face aux risques. informationnels, militaires, ou géopolitiques. Ainsi comprise, elle s’incarne dans des réseaux d’acteurs apprenants, dans la capacité à créer de la confiance et à partager les ressources d’un territoire.
Elle propose une autre voie que celle de la compétition : celle de la coopération, de l’éthique et de la conscience d’un destin commun.
Elle est souvent mobilisée pour construire des relations et se doter de la force collective nécessaire face aux risques. informationnels, militaires, ou géopolitiques. Ainsi comprise, elle s’incarne dans des réseaux d’acteurs apprenants, dans la capacité à créer de la confiance et à partager les ressources d’un territoire.
Elle propose une autre voie que celle de la compétition : celle de la coopération, de l’éthique et de la conscience d’un destin commun.
A propos de l'auteur
Julien Poisson est doctorant en sciences de gestion à la fois à l'Université de Caen Normandie et à l'EM Normandie Business School.
Il est impliqué dans un projet de recherche financé par la Région Normandie, en partenariat avec le NIMEC (Normandie Innovation Marché Entreprise Consommation)2.
Il se spécialise dans l'étude de l'intelligence économique et de la géopolitique appliquée aux entreprises. Il souligne l'importance pour les dirigeants d'entreprises de comprendre les enjeux géopolitiques pour une meilleure gestion des risques et des dépendances stratégiques.
Article co-écrit avec
Ludovic Jeanne Géographe, Laboratoire Métis, EM Normandie
&
Simon Lee Professeur des Universités en gestion, Université de Caen Normandie
&
Simon Lee Professeur des Universités en gestion, Université de Caen Normandie

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