Beam-Report est un logiciel ultra-léger, dont le déploiement est très rapide et qui ne vaut que quelques centaines d’euros. Systeam accompagne ses clients dans le paramétrage initial de Beam-Report et prend en compte les besoins, les habitudes et les enjeux de chaque entité. La mise en ?uvre est rapide, 2 à 6 semaines, avec un coût interne très réduit. AIRBUS, le CNES, Thales AleniaSpace, EADS Astrium l’utilisent, mais Beam-Report ne se limite pas à l’industrie et convient aussi aux sociétés de service, banques, assurances, mutuelles.
En septembre 2008, Systeam a déployé 1000 licences Beam-Report à l’Engineering d’AIRBUS. Avant l’introduction de Beam-Report, l’information reposait sur des « weekly-reports » (compte-rendus d’activité) en texte libre, structurés par des outils traditionnels. Ce processus manquait d’automatisme et comportait des contraintes. Plus de 1000 ingénieurs et managers d’AIRBUS utilisent désormais Beam-Report pour rédiger, consolider et exploiter les weekly-reports. Pour M. Murail, responsable de projet chez AIRBUS, « on a atteint l’objectif de faire « simple » grâce à la souplesse de l’outil. Sa grande facilité d’utilisation nous a permis de le mettre en œuvre sur plusieurs site Européens en minimisant les évolutions dans les habitudes de travail locales. » M. Boris
En septembre 2008, Systeam a déployé 1000 licences Beam-Report à l’Engineering d’AIRBUS. Avant l’introduction de Beam-Report, l’information reposait sur des « weekly-reports » (compte-rendus d’activité) en texte libre, structurés par des outils traditionnels. Ce processus manquait d’automatisme et comportait des contraintes. Plus de 1000 ingénieurs et managers d’AIRBUS utilisent désormais Beam-Report pour rédiger, consolider et exploiter les weekly-reports. Pour M. Murail, responsable de projet chez AIRBUS, « on a atteint l’objectif de faire « simple » grâce à la souplesse de l’outil. Sa grande facilité d’utilisation nous a permis de le mettre en œuvre sur plusieurs site Européens en minimisant les évolutions dans les habitudes de travail locales. » M. Boris