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PartagerDC : Comment Signos adapte-t-elle sa stratégie commerciale et marketing face à l'évolution du marché de la formation et du conseil ?
PN : Le marché a profondément évolué : les entreprises veulent aujourd’hui des formats plus courts, plus concrets, directement transférables dans leurs pratiques.
Chez Signos, nous avons anticipé cette demande en proposant des formations-actions depuis plus de 15 ans. Nous travaillons sur des applications réelles pendant toute la durée de la formation : projets, processus, procédures, stratégies du client.
Sur le plan marketing, nous avons renforcé notre présence digitale (LinkedIn, webinaires, campagnes Plezi) et notre génération de leads qualifiés via des tunnels différenciés (MindManager, IA, Mind Mapping, Management visuel).
Chez Signos, nous avons anticipé cette demande en proposant des formations-actions depuis plus de 15 ans. Nous travaillons sur des applications réelles pendant toute la durée de la formation : projets, processus, procédures, stratégies du client.
Sur le plan marketing, nous avons renforcé notre présence digitale (LinkedIn, webinaires, campagnes Plezi) et notre génération de leads qualifiés via des tunnels différenciés (MindManager, IA, Mind Mapping, Management visuel).
DC : L'intégration de l'IA est-elle vue comme une opportunité pour rendre votre corpus de livres accessible aux LLMs publics ? Envisagez-vous d'utiliser des LLM spécifiquement dédiés au management ?
PN : C’est une question passionnante. Oui, nous considérons les LLMs comme de nouveaux lecteurs et de nouveaux médiateurs de connaissance.
L’idée n’est pas seulement de rendre nos contenus accessibles aux IA, mais de les entraîner à raisonner visuellement et contextuellement, à partir de notre corpus : Le Management Visuel, La Boîte à Outils du Management Visuel, etc.
Nous envisageons effectivement des LLMs spécialisés dans le management visuel, le mind mapping et la co-intelligence, capables d’aider les managers à cartographier une problématique, clarifier une situation, ou prendre une décision collective.
L’idée n’est pas seulement de rendre nos contenus accessibles aux IA, mais de les entraîner à raisonner visuellement et contextuellement, à partir de notre corpus : Le Management Visuel, La Boîte à Outils du Management Visuel, etc.
Nous envisageons effectivement des LLMs spécialisés dans le management visuel, le mind mapping et la co-intelligence, capables d’aider les managers à cartographier une problématique, clarifier une situation, ou prendre une décision collective.
DC : Le management visuel est un thème fondateur de vos travaux. Face à la complexité et au "bruit" informationnel actuel, comment positionnez-vous la pensée visuelle et des outils comme le Mind Mapping ?
PN : Nous sommes passés d’un monde de l’information à un monde de saturation cognitive.
Dans un contexte où tout devient instantané et fragmenté, penser visuellement, c’est retrouver la cohérence, faire émerger du sens et partager une vision commune.
C’est exactement le rôle du manager moderne : non plus tout savoir, mais savoir organiser l’intelligence collective. Le visuel devient alors un langage commun entre humains et IA.
Concernant le Mind Mapping en particulier, nous sommes persuadés qu’il va devenir le pendant de la datavisualisation lors de l’émergence du Big Data, il y a une quinzaine d’années.
Nous avons dû trouver des solutions visuelles pour absorber cette masse d’informations. Le Mind Mapping peut jouer ce rôle à l’ère des LLM : il est désormais facile de générer des formats de sortie directement exploitables en carte mentale.
Dans un contexte où tout devient instantané et fragmenté, penser visuellement, c’est retrouver la cohérence, faire émerger du sens et partager une vision commune.
C’est exactement le rôle du manager moderne : non plus tout savoir, mais savoir organiser l’intelligence collective. Le visuel devient alors un langage commun entre humains et IA.
Concernant le Mind Mapping en particulier, nous sommes persuadés qu’il va devenir le pendant de la datavisualisation lors de l’émergence du Big Data, il y a une quinzaine d’années.
Nous avons dû trouver des solutions visuelles pour absorber cette masse d’informations. Le Mind Mapping peut jouer ce rôle à l’ère des LLM : il est désormais facile de générer des formats de sortie directement exploitables en carte mentale.
Comment l'intégration des LLM / IA / Agents dans vos outils transforme-t-elle la méthodologie et la manière dont les utilisateurs peuvent désormais exploiter les données et structurer leur pensée ?
PN : L’IA, comme toute technologie, peut émanciper ou aliéner, selon la manière dont on l’utilise.
Chez Signos, notre approche est celle de la co-intelligence : l’humain reste au centre, l’IA l’assiste.
Les nouveaux outils permettent de générer, organiser et reformuler des idées beaucoup plus vite. Mais le véritable enjeu, c’est la qualité du prompt, la capacité d’interprétation et de structuration.
C’est pourquoi nous formons nos clients à devenir des cartographes du sens, capables d’utiliser l’IA comme un amplificateur de clarté, pas comme un substitut de pensée.
L’utilisateur augmenté, c’est celui qui garde la main sur le sens.
Chez Signos, notre approche est celle de la co-intelligence : l’humain reste au centre, l’IA l’assiste.
Les nouveaux outils permettent de générer, organiser et reformuler des idées beaucoup plus vite. Mais le véritable enjeu, c’est la qualité du prompt, la capacité d’interprétation et de structuration.
C’est pourquoi nous formons nos clients à devenir des cartographes du sens, capables d’utiliser l’IA comme un amplificateur de clarté, pas comme un substitut de pensée.
L’utilisateur augmenté, c’est celui qui garde la main sur le sens.