Agenda  30/01/2009

Comment mettre en place des Communautés Techniques?

La société BASSETTI, en partenariat avec Canal Industrie, prestataire de formations techniques et industrielles, propose une formation sur le thème : " Le Management de l'Expertise Technique ou comment fertiliser les échanges entre experts à travers les Communautés Techniques ? "
Deux jours de formation pour vous familiariser avec la démarche, connaître les bonnes pratiques de mise en place, parler de cas de réussites et d'échecs.
Au sommaire :

• Pourquoi et comment mettre en place des Communautés Techniques ?

• Qu'est ce qu'une Communauté Technique ?

• Comment organiser le lancement de Communautés ?

• Quels outils utiliser, quelles interactions avec les services transverses ?

Plus d’infos :
Programme Formation COT www.bassetti.fr


Journée Nationale de l’Intelligence Economique d’Entreprise (JIEE’08)

Après Lille (2004), Lyon (2006), la 3ème JIEE - JIEE’08 - organisée par l’Académie de l’Intelligence Economique, se tiendra à Toulouse le 11 décembre 200

ette Journée de débats Chefs d’entreprise – Experts de l’IE a pour but de présenter et d’analyser les résultats d’expériences concrètes de mise en oeuvre de pratiques d’IE d’Entreprise, en entreprise, pour l’entreprise.

JIEE’08 a choisi deux thèmes comme axes principaux :

- L’Entreprise Compétitive et sa gestion de l’information et des connaissances,

- les traits « génétiques » de l’Entreprise Compétitive,

- la gestion de l’information qu’elle détient ou qu’elle acquiert et son impact sur sa compétitivité,

- le processus d’intelligence économique d’entreprise, - un cas concret : la cartographie qualitative des compétences des partenaires en place ou potentiels.

- Réussite ou échec sur les marchés mondiaux : le rôle de l’intelligence économique

- quels sont les pré-requis indispensables pour connaître et comprendre :
• les règles de la compétition
• le jeu des compétiteurs

- comment dresser la cartographie des itinéraires d’influence ?

- comment mobiliser tous les acteurs nationaux à la réussite d’un projet stratégique?

Un partenariat a été noué avec l’Académie de l’Air et de l’Espace, promoteur avec le Collège de Polytechnique, des «Entretiens de Toulouse»

Inscription : www.academie-ie.org/la_mission.php

2ème Assises de l’I.Ec. à Alger

Les 10 et 11 novembre 2008, Alger

• 1ère journée : le 10 Novembre
9h00 - 9h20 : Allocution d’Ouverture
09h20-10h00 L’intelligence économique : un enjeu de changement pour l’entreprise par M. David Autissier
10h00-10h40 Intelligence Economique et Environnements Complexes
10h40-11h10 Les nouveaux territoires de l’intelligence économique
11h30 -12h15 : La mission d’IE au sein d’une PME avec les impacts en termes stratégique,
12h15 - 13h00 Ateliers 01 - 02 - 03 & 04
• Salle A / Atelier 01 : « Le timing d’une rumeur pour s’assurer qu’elle fonctionne »
• Salle B /Atelier 02 : Le veilleur dans la stratégie
. Salle C / Atelier 03 : Cartographie des risques et anticipation de crises sur internet
. Salle D / Atelier 04 : "Sécurité, Intelligence économique et système financier et bancaire"
14h30-15h15 : Intervention 1 : Comment l’intelligence économique s’intègre à la stratégie de l’entreprise
15h15-16h00 :
De la veille à l’intelligence économique
16h00-17h00 : Table Ronde : Débat -Questions-Réponses

• Le 11 Novembre 2008
9h00-10h00 Intelligence économique et ressources humaines : quels leviers d’action
10h00-11h00 La création d’observatoire économique dans un atelier consacré à l’Intelligence Territoriale lors d’une seconde intervention
11h30-12h15 Analyse des Jeux Mondiaux de Contrats dans l’Industrie Pharmaceutique
Salle C / Atelier 05 : Comment choisir un outil de veille et pour quels besoins
Atelier 06 : " Les outils d’analyses dédiés à l’intelligence économique"
Atelier 07 : Comment mettre en place une war room ?14h30-15h00 Comment monter un réseau de veilleurs dans une entreprise
15h00-16h00 Table Ronde : Débat -Questions-Réponses
16h00-17h00 Clôture des 2ème Assises de l’IE

Contact : Amor Zebar - vipgroupe@yahoo.fr

TEL/FAX : 00 213 21 67 86 24 - GSM : 00 213 61 51 01 84

Éric Delbecque  30/01/2009

Éric Delbecque est Secrétaire Général de l'I.E.R.S.E. (Institut d'Etudes et de Recherche pour la Sécurité des Entreprises). Diplômé de l'Institut d'Études Politiques de Paris, titulaire d'une maîtrise de philosophie, et Docteur en histoire, il fut auparavant expert en intelligence économique et territoriale au sein de l'ADIT (Société Nationale d'Intelligence Stratégique) et responsable des opérations d'intelligence économique et de communication de crise au sein d'une filiale de La Compagnie Financière Rothschild. Il enseigne notamment à l’Ecole de Guerre Economique, à l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale, à l’ENA, l’Ecole des Mines de Paris, la Sorbonne ou l’université d’Assas. Il est membre de la rédaction de La Lettre Sentinel (lettre d'information et d'aide à la lutte contre les menaces contemporaines). Auteur de nombreux ouvrages, ce proche du Préfet Rémy Pautrat fait partie de la jeune garde montante de l’intelligence économique à la française.

Dans cette assemblée des Vingt-Sept, quelle est l’influence de la France et des Français ? Comment évolue-t-elle ?  30/01/2009

M.C. : La présence et l’efficacité des Français sont souvent décriées, et par les Français eux-mêmes. Sans tourner à l’auto flagellation, reconnaissons que nous ne sommes pas au mieux. D’abord, par dilution – tenir toute sa place à 27 est moins facile qu’à 12 ou 15. Par ailleurs se posent des questions liées au savoir – faire.

De la part des négociateurs officiels, nos partenaires constatent souvent leur absence d’écoute, leurs solutions toutes prêtes, leur réticence au compromis ; ils y voient une marque d’arrogance. Nous sommes, c’est vrai, moins à l'aise que les pays du Nord dans le système collégial. Mais, à mon avis, les vrais handicaps sont plus factuels : l'échec du referendum de 2005 nous a desservis ; la négligence à respecter nos engagements, notamment budgétaires, au moins autant.
Du coté de la société civile - en pratique les milieux d’affaires - la culture française ne porte pas à l’influence. Dans l’hexagone, le lobbying a longtemps souffert de préjugés. Situé à la croisée du pouvoir et de l’argent, sans statut bien défini, il soulevait un débat éthique permanent. Image négative, déplorable et injuste.

Malgré quelques affirmations à sensation, l’image change. L’Europe nous a appris que cette pudeur n’est pas productive. La France comprend enfin que le lobbying est une attitude d’information qui ne contrevient ni aux lois, ni à la morale.

Du coup, nos grandes entreprises ont fait des progrès : en présence (la plupart ont maintenant leur antenne à Bruxelles), en structuration interne (par création de « Directions des affaires publiques » ou services équivalents), par coopération entre public et privé (la Représentation permanente française se prête activement aux échanges d’information).

Le résultat se manifeste à la fois par des succès sur les dossiers et une reconnaissance de plus en plus nette du métier. Les actions de formation de cadres ou d’étudiants y contribuent également.

Néanmoins, des points restent à améliorer. Pour être plus performants, il faudrait imiter le pragmatisme des Britanniques, les réseaux des Italiens ou la force d’intervention des Allemands.

Lorsque l’intelligence économique « sert » le plan de compte… LES NOUVEAUX TERRITOIRE DE L’INTELLIGENCE ECONOMIQUE – Editions IFIE  30/01/2009

Ouvrage préfacé par Alain Juillet, haut responsable en charge de l’intelligence économique auprès du Premier ministre, et Philippe Clerc, directeur de l’Intelligence Economique à l’ACFCI, Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie.

Cet ouvrage se démarque définitivement du concept d'espionnage trop souvent associé à la définition première de l’Intelligence Economique. Les auteurs, experts en leurs spécialités, se sont respectivement soumis à l’exercice de penser intelligence juridique, intelligence culturelle, intelligence comptable et financière, intelligence culturelle, intelligence humanitaire, intelligence sociale, intelligence sportive.

A l’heure où l’information financière devient un acteur de la stabilité des marchés, Agnès Bricard, expert-comptable, commissaire aux comptes, Cabinet ABC, s’est penchée sur l’intelligence comptable et financière en imaginant un plan de compte intelligent.

« Il m’est apparu essentiel de replacer la fonction comptable et financière au premier rang des clés de l’Intelligence Economique, tant les informations comptables et financières sont stratégiques et précieuses pour développer son entreprise intelligemment et de façon pérenne. Mon objectif est ici de promouvoir une vision large de l’Intelligence Economique comptable et financière comprenant un volet défensif et préventif de détection grâce à une cartographie des risques, mais aussi un volet offensif de pilotage et de veille en identifiant les opportunités de croissance. Faire du plan de compte un outil intelligent consistera pour la PME à identifier et à analyser de façon dynamique ses informations stratégiques comme autant d’indicateurs qu’il est vital de savoir interpréter et anticiper : sa capitalisation au regard de sa stratégie de développement et de ses investissements, sa dépendance à l’égard d’un tiers, mais aussi ses charges sociales, ses engagements d’assurance, ses emprunts bancaires, sa couverture des emplois… »

Pour consulter l’interview d’Agnès Bricard sur l’IE : http://www.abc-conseil.com
Contact : vhaddar@imedia-conseil.fr

le guide pratique "collaboratif et gestion des connaissances ... la question n'est plus de résoudre individuellement des problèmes, mais d'y parvenir collectivement "  30/01/2009

Dans une société de l'information où information, savoir et innovation sont de plus en plus liés, la question n'est plus de résoudre individuellement des problèmes, mais d'y parvenir collectivement et de profiter de la dynamique d'un fonctionnement en mode projet pour assurer l'efficacité des organisations en favorisant l'échange et le partage d'information.

Mais comment peut s'opérer ce changement de culture ? En reconnaissant qu'une approche purement technologique n'est pas appropriée, que la gestion de l'information n'est pas une fin en soi, qu'il faut privilégier l'intermédiation entre l'utilisateur et l'information, favoriser le lien social et l'échange dans un groupe de travail et aider à rendre les savoirs et savoir-faire explicites et partageables.

Ce guide s'adresse à tous ceux désireux de s'appuyer sur des réseaux pour profiter de nouvelles façons de travailler, capitaliser le savoir, partager les bonnes pratiques, les savoir-faire, améliorer les processus métiers, la productivité et les performances individuelles et collectives en entreprise.Il met l'accent sur les communautés de pratiques, l'implication des acteurs et des décideurs de l'entreprise, et sur les bouleversements en cours du marché des logiciels du fait de nouveaux entrants.

Surtout, il insiste sur la mise en place de démarches collaboratives en apportant un fort éclairage sociologique. De plus, est fournie une information approfondie sur les familles d'outils concernés et les critères de choix à retenir, tandis qu'une série de retours d'expérience apportent l'éclairage du terrain.

b[ Pas à pas, le changement de culture se produit !

Archimag , une publication du Groupe Serda [logiques et systèmes d'organisation de la Mémoire et du Savoir]

24, rue de Milan - 75009 Paris - Tél. 01 55 31 92 30 - Fax 01 44 53 45 01 - www.archimag.com]b

Le Renseignement devient une priorité : Création de la direction centrale du renseignement intérieur et Livre Blanc de la Défense  30/01/2009

La réforme des services de renseignement a conduit à la création, le 1er juillet 2008, d'un service de renseignement intérieur unique, la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) qui veut un "FBI à la française" en matière de renseignement.

Forte de 4.000 fonctionnaires, dont 3.000 policiers dits "actifs", la DCRI traitera de quatre missions principales qui relèvent de l'intérêt de la nation : la lutte contre l'espionnage et les ingérences étrangères; la lutte contre le terrorisme; la protection du patrimoine et la sécurité économique; la surveillance des mouvements subversifs violents et des phénomènes de société précurseurs de menaces.

Source : Ministère de l’Intérieur - http://www.interieur.gouv.fr

Amplement commenté par les médias, le Livre Blanc est maintenant disponible. Loin d'être un banal rapport, le document est une référence en géopolitique, il est donc à lire ou plutôt à feuilleter car il fait partie des livres dont tout le monde parle et que personne ne lit entièrement. Car le livre blanc c'est surtout 2 tomes, 3 parties, une annexe de plus de 400 pages et au total près de 800 pages. Le site "l'autre tendance" a sélectionné quelques extraits concernant l'IE.

Le Livre Blanc de la Défense: http://www.defense.gouv.fr/livre_blanc/
L'IE et le Livre Blanc de la Défense. Source : L’Autre Tendance, 18/06/08

Quelle économie en 2050 dans le monde ?  30/01/2009

Le département d’Intelligence Economique de Pricewaterhouse Coopers (PWC) a publié en juin les conclusions de son étude prospective sur « Le Monde en 2050 ». Selon PWC, d’ici à 2050, l’équilibre économique mondial va connaître des bouleversements majeurs. Ainsi, la Chine deviendra dès 2025 la première puissance économique mondiale. Cette enquête s’appuie sur les analyses et projections macroéconomiques de 30 pays, couvrant 85% du PIB mondial 2006. Selon PWC, d’ici à 2050, l’équilibre économique mondial va connaître des bouleversements majeurs. Ainsi, la Chine deviendra dès 2025 la première puissance économique mondiale. De nouveaux pays émergents affichent des potentiels de croissance considérables, tel que le Vietnam, 9,8% de croissance par an entre 2007 et 2050, tandis que la croissance de la France et des autres pays du G7 plafonnerait à 2%.

www.emploi-stage-environnement.com

L’innovation au cœur de la guerre commerciale  30/01/2009

L’Accord de Londres est entré en vigueur le 1er mai 2008. L’Accord de Londres sur le brevet européen, s’applique depuis le 1er mai, après le dépôt fin janvier par la France ayant de ses instruments de ratification. L’objectif du brevet européen est de favoriser les partenariats technologiques. Jusqu’ici, le coût du brevet européen constituait un frein à son utilisation tout particulièrement pour les PME et les centres de recherche.

http://www.observatoire-immateriel.com01/02/08

Cette place prédominante des brevets dans le patrimoine immatériel des organisations a été souligné par le Rapport de synthèse publié par l’OCDE "Actifs intellectuels et création de valeur". Les actifs intellectuels constituent des facteurs stratégiques de la création de valeur par les entreprises. Cette brochure présente une synthèse des principales conclusions de travaux menés récemment par l’OCDE sur les actifs intellectuels et la création de valeur sous trois angles majeurs : le niveau macroéconomique, le niveau régional, et au niveau des entreprises. Source : OCDE, 12 juin 2008, http://www.oecd.org.

C’est bien ce rôle prépondérant dans la création qui font des brevets des armes sophistiquées de guerre commerciale. Revers de la même médaile qui expliquement la guerre que se livre les entreprises innovantes sur le front de la propriété intellectuelle. Les chiffres sont là. En 2007, 156.100 brevets mondiaux déposés (près de 5 % de plus que l'année précédente) selon les chiffres communiqués, le 21 février, par l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI). Cette hausse intervient après des années de croissance ininterrompue.

http://www.lemonde.fr/

Un vent de fraîcheur dansle monde du search  30/01/2009

Cet été, l’actualité du search a été animée par un petit vent de fraîcheur venu de l’autre côté de l’Atlantique. Cuil (il faut prononcer « cool » cela vaut mieux) a fait pas mal parlé de lui. De là à imaginer que ce nouvel entrant chercherait à rivaliser ipso facto avec Google, il ne faut quand même pas exagérer. C’est d’ailleurs avec un pragmatisme très anglo-saxon que le géant des moteurs de recherche a salué l’arrivée de la start-up en affirmant que l’apparition d’un nouveau concurrent ne ferait que stimuler ses propres troupes.

Pour l’instant, pas de scoops particuliers si ce n’est côté financement les 33 millions de dollars alignés par les fondateurs, tous plus ou moins élévés dans les « labs » de Google et côté technique on noterait un penchant pour les contenus plutôt que pour le ranking et des résultats restitués avec les images . Souhaitons donc bien-venu à ce nouveau joueur qui devrait aux côtés de Yahoo et Microsoft alimenter la bataille du search.
JS

Sinequa, un bouquet de récompenses et d'annonces.  30/01/2009

Jean Ferré PDG et François d’Haegeleer, VP Marketing de Sinequa ont présenté le 26 juin le bilan 2007-2008 de leur entreprise dont l’année fiscale se termine le 31 mai.

L’entreprise qui a fait 60% de croissance sur le marché français, compte une cinquantaine de personnes et continue à recruter : l’accroissement de l’effectif est de 20% par an. Tout en misant sur la croissance internationale et en particulier l’implantation aux Etats Unis après un French Tech Tour 2008 particulièrement réussi, Sinequa se consolide sur son corps de métier, celui d’un moteur de recherche essentiellement présent dans la presse et le e-commerce, a déclaré Jean Ferré.

L’entreprise a gagné 45 nouveaux clients cette année, avec de nouvelles références dans l’énergie, la chimie et la banque. Son plus grand client reste la Défense avec le SGDN et la DGA. Sinequa travaille également pour la police judiciaire, en recherche et analyse dans des compte-rendus d’enquêtes. MBDA, leader mondial des missiles et systèmes de missiles, s’est équipé cette année de Sinequa CS afin d’accélérer le partage et le transfert des compétences entre ses collaborateurs et contribuer ainsi à maintenir son leadership.

Dans les parts de marché gagnées, Sinequa a remplacé Autonomy et gagné contre Fast.

Avec 40 connecteurs dont 5 nouveaux (pour Websphere, IntelligenceMaker, Salesforce.com, Jalios et Oracle Universal Content Management), Sinequa améliore l’accès à la connaissance, de l’entreprise, a expliqué François d’Haegeleer. Sinequa se connecte à l’ensemble des sources d’information de l’entreprise, en respectant les mécanismes de contrôle d’accès en place au sein des applications par simple paramétrage de connecteurs « clés en mains ». Sa solution est d’une grande « scalabilité » et d’une grande rapidité d’indexation ; elle gère de gros volumes indexés et permet de répondre à de nombreuses questions simultanées.

Sinequa a reçu le Prix 2008 de la Stratégie d’Entreprise dans la catégorie ‘Start Up’. L’événement, soutenu par AFORGE Finance et KPMG est placé sous le haut patronage du Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Emploi. Avec plus de 200 clients, Sinequa s’appuie sur un actif technologique, son « Lab », qui représente plus de 20 années de R&D dans le domaine du traitement automatique du langage et de la recherche de contenu. Le jury a primé une stratégie ambitieuse, mais raisonnable (Sinequa a clairement délimité son marché) déjà couronnée de succès (les revenus ont été multiplié par 4 en trois ans).

Par ailleurs, Sinequa a été retenu par le jury des prix i-expo 2008, en étant nominé pour le Prix KM. Sinequa permet en effet aux entreprises de franchir un pas supplémentaire de l’accès à l’information à l’accès à la connaissance en identifiant immédiatement partenaires, employés, clients, et autres éléments permettant de prendre de meilleures décisions plus rapidement, a souligné François d’Haegeleer.

Sinequa a réalisé une enquête de marché auprès de 200 personnes sur le partage de l’information dans l’entreprise. Sur une échelle de 1-5 (1 étant faible et 5 étant excellent) comment évaluez-vous l’approche de votre organisation concernant le partage de l’information dans l’entreprise? était-il demandé. 3% ont répondu 1, 56%, 2, 26%, 3, 8%, 4, 7%, 5. Diriez-vous que l’essentiel de la connaissance de l’entreprise est dans la tête des gens plutôt que dans les documents et les données stockées dans l’entreprise ? 72% ont répondu Oui, 28%, Non. Il reste encore beaucoup à faire aux moteurs de recherche et aux outils de KM de type Sinequa.

Mireille Boris

2e édition - Les pratiques de l'intelligence économique - Dix cas d'entreprises  30/01/2009

Par Jean-Louis Levet - Editeur : Economica - Collection : L'Intelligence Economique

ISBN : 978-2-7178-5538-8 - 160 pages - Parution : 04/2008

Cette seconde édition a été enrichie par plusieurs nouveaux cas. Elle présente des analyses relatives à des PME, telles que Dacral, Markal, Raymond, Sisley, SPhere; des groupes comme Aérospatiale (aujourd'hui EADS), L'Oréal, Renault, Salomon ; des organismes aussi divers que Coface et les syndicats professionnels.

De ces expériences accumulées, ressortent trois caractéristiques affirmées de l'intelligence économique :

- ses pratiques sont multiples et aboutissent à des modes d'organisation adaptés à la trajectoire de chaque entreprise, et ce, quelle que que soit sa taille, PME ou grand groupe ;

- sa mise en oeuvre n'est en aucune façon une question de moyens ;

- elle est un facteur déterminant de la performance durable de l'entreprise et de son insertion dans son environnement.

Résolument tourné vers les aspects concrets de l'intelligence économique, cet ouvrage s'adresse aux cadres du secteur privé comme du secteur public, aux organismes de représentation et d'intermédiation, ainsi qu'aux étudiants.

Sous la direction de Jean-Louis Levet.

Jean-Louis Levet est l'un des principaux pionniers de l'intelligence économique en France. Economiste reconnu, ses travaux portent plus largement sur l'économie industrielle. Ancien conseiller industriel à Matignon, il a exercé de multiples responsabilités dans le secteur public et dans le secteur privé. Il est actuellement Directeur général de l'IRES (Institut de recherches économiques et sociales).

Ses essais animent régulièrement le débat public : Sortir la France de l'impasse (1998), couronné par l'Académie des Sciences Morales et Politiques, L'économie industrielle en évolution. Les faits face aux théories (2004), Pas d'avenir sans industrie (2006).

Comment le web change le monde  29/01/2009

Dans ce livre Francis Pisani et Dominique Piotet est un peu l’évènement de ce printemps. Nos deux auteurs s’'attachent à décrire la rupture qui s’'est produite entre Internet tel qu'’il a été conçu et popularisé et ce que, depuis quelques années, on appelle le web 2.0. Au delà de l’'expression c'’est tout un ensemble d'’usages de sites et d'’entreprises ayant fait florès qui constituent ce tout nouveau web : Youtube, Myspace, Facebook etc. Pour cerner ce phénomène Francis Pisani et Dominique Piotet sont partis des pratiques des jeunes pour en dégager les 5 caractéristiques principales :

• Les technologies comptent peu c'’est l’'usage qui prime.

• L’'outil souple d'’utilisation se laisse facilement approprier par les utilisateurs.

• La communication se passe « dans les nuages » On peut envoyer des informations tout en laissant aux intéressés la possibilité de répondre comme et quand ils le désirent. On passe d’'une communication proactive et institutionnalisée à une communication souple et non maîtrisée.

• Un très fort potentiel relationnel (nouvel espace social le web offre des possibilités inédites : on peut à la fois y communiquer avec ses proches et des étrangers ; liberté et absence de normes se conjuguent avec l’'appartenance à une voire plusieurs communautés.

• L’'apparition des amateurs-experts (le web 2.0 est un web de participation) Les internautes s’'y comportent non comme des consommateurs mais comme des acteurs engagés.

Pour en savoir plus :
http://alchimie-des-multitudes.atelier.fr/


La mondialisation en question. Nous et le reste du monde  29/01/2009

Par Claude Revel, Editions Saint-Simon

ISBN-10: 291513431

Elle se préparait dans l'ombre depuis trente ans. Elle a fini par arriver. Elle s'est invitée, en France, prenant de court les dirigeants de tous bords. La mondialisation, car c'est d'elle qu'il s'agit, n'est pas seulement économique et financière.
Elle provoque une compétition très nouvelle, celle des systèmes de pensée, des visions politiques et des cultures. La France est-elle encore dans la course ? Aujourd'hui, le " modèle français " est grippé. Au-delà des discours et des postures, il est temps que nos dirigeants prennent leurs responsabilités et la pleine mesure de la mondialisation pour renforcer l'influence de notre pays. Car la France, qui possède de nombreux atouts mondialement reconnus, peut affirmer ses différences sans pour autant se mettre à l'écart du monde. A une triple condition : Que les Français soient informés de l'état réel du monde, des règles qui le gouvernent et des nouveaux acteurs de la société mondialisée. Que nos élites passent de l'autocritique à l'autorévolution, c'est-à-dire à un véritable changement de comportement et d'état d'esprit face à la compétition internationale qui règne tant dans les milieux économiques que dans le monde des idées. Que la France apprenne à convaincre ses partenaires au lieu de " décréter " la supériorité de son modèle sans jamais la démontrer...

Les Pôles de compétitivité : Que peut-on en attendre ?  29/01/2009

Gilles Duranton, Philippe Martin, Thierry Mayer, Florian Mayneris

Editions Rue d’Ulm, collection du Cepremap, 2008

ISBN 978-2-7288-0397-2


Une fois encore, le CEPREMAP et les éditions de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm nous offrent un petit ouvrage qui sait parfaitement manier le couple pertinence/impertinence. Après la société de défiance, il est désormais question des pôles de compétitivité avec cette question choc : que peut-on en attendre ? Rappel : « le 12 juillet 2005, le gouvernement labellisait 67 « pôles de compétitivité » – ou clusters. Ils sont aujourd’hui au nombre de 71. La politique d’aménagement du territoire est passée d’une intervention publique destinée à aider les régions en difficulté à une politique visant à encourager les plus dynamiques. Un objectif d’efficacité s’est ainsi substitué à un objectif d’équité. Sur quoi se fonde-t-il ? Sur l’idée que le regroupement des activités de production et de recherche permet d’améliorer la productivité des entreprises. Les clusters, pourtant, ne se décrètent pas, car ils obéissent à des mécanismes complexes. »
À contre-courant de l’enthousiasme que suscite le soutien aux clusters, cette étude montre qu’une telle politique peut en réalité avoir des effets négatifs : une trop grande spécialisation rend les régions tributaires du destin d’un secteur, en particulier lorsque les travailleurs sont peu mobiles – comme c’est le cas en France. N.M.

La revue des sciences de gestion & le nouvelles tendances du marketing  29/01/2009

La revue des sciences de gestion nous propose un n° spécial Marketing dans lequel les lecteurs de Veille trouveront des articles qui les intéresseront plus particulièrement.
Ainsi, celui de Senda Baghdadi (IHEC de Carthage) et Mustapha Zghal (FSEG de Tunis) sur la transposition de l’art militaire en marketing. Reprenant l’affirmation de P. Kotler et R. Singh selon laquelle le marketing serait une forme civilisée de guerre, les auteurs se posent la question : comment et pourquoi l’approche militaire a-t-elle été adoptée en marketing, domaine où les batailles sont gagnées par des mots, des idées et des pensées disciplinées ?
A lire également, un article sur l’impact d'un éclairage additionnel dans un point de vente sur les réactions comportementales du consommateur, le lien entre consommation et développement durable, un état de l’art sur l’efficacité de la publicité ou encore un travail de recherche sur le rôle des TIC dans la relation client banque-entreprise.

http://larsg.over-blog.com - revue-sciences-gestion@wanadoo.fr

• Investir dans les pays pauvres  29/01/2009

Les travaux de recherche de Christian Seelos, Directeur de la plateforme de stratégie et développement durable de l’IESE Business School en Espagne, concernent la création de nouveaux marchés et du développement social dans un environnement de pauvreté extrême. Cette étude a obtenu la première place de la compétition annuelle d’essai organisée par l’International Finance Corporation (association membre de la Banque Mondiale) et du Financial Times.

L’essai intitulé « Stratégie corporative et création de marché dans un contexte de pauvreté extrême » a été élu parmi 750 travaux de recherche provenant de plus de 90 pays. L’auteur propose des modèles économiques pour les marchés pauvres et affirme que les stratégies ont un retour sur l’investissement pour les entreprises en même temps qu’ils favorisent la lutte contre la pauvreté et le développement économique des pays du sud.

La nouveauté du travail de recherche du professeur Seelos est d’expliquer comment réussir l’introduction de l’entreprise dans les marchés locaux. Il conseille dans cette perspective d’établir des alliances avec des organismes locaux qui sont déjà en train d’offrir un service à la société, de comprendre les objectifs stratégiques, culturels et la manière de faire des affaires du pays et de garantir que le business plan assure et améliore les salaires des employés.

Pour illustrer sa théorie, Seelos analyse deux exemples d’entreprises qui ont remporté le défi : le Graneen Phone, modèle qui a rapproché les populations les plus pauvres des téléphones portables, et le Waste Concern, projet de collecte des déchets ménagers maison par maison qui sont par la suite dirigés dans des centres communautaires de recyclage où ils sont transformés en engrais organique. Les deux modèles ont été réalisés au Bangladesh, Inde.

Matûration et adaptabilité  29/01/2009

Deux nouveaux actionnaires ont renforcé fin 2007 les compétences clés de Néotia pour le développement d’outils d’analyse et de traitement de l’information. L’Argus de la Presse, pour fournir des outils avancés pour le traitement d’articles de presse : un pas important vers le traitement de l’information non structurée que représentent les articles de 10000 publications que la plate-forme peut maintenant traiter de manière personnalisée. Du côté de l’aide à l’analyse stratégique, à la décision, à l’anticipation des risques, c’est avec I2F, spécialiste d’intelligence économique, que Néotia noue un partenariat, pour apporter ses techniques de visualisations de réseaux, de tendances…

L’exemple de Néotia est caractéristique de la maturation et de l’adaptabilité des métiers et des supports de traitement de l’information : rien ne sert de la capter et de la conserver, il s’agit maintenant de savoir la faire parler, de la transformer en connaissance directement utile, d’étendre ses sources, notamment en intégrant la production foisonnante des réseaux sociaux, tout en la recentrant et la concentrant. Il est très prometteur aussi dans le registre de la visualisation et de son utilité, dans l’univers du travail et des organisations : la surcharge cognitive, et un certain archaïsme dû à la présentation essentiellement textuelle et linéaire des contenus, vont de plus en plus laisser leur place à des représentations visuelles qui facilitent les processus cérébraux d’appréhension de l’information. Nous sommes au début d’un processus profond de changement dans les supports de travail et de communication, et Néotia fait partie des acteurs qui, grâce à des techniques qui n’existaient pas il y a même deux ans, accompagnent concrètement ces évolutions.

J.M. Blancherie

Quelles sont les actions entreprises en Tunisie en faveur d’une société de la connaissance ?  29/01/2009

Beaucoup de choses sont en train d’être faites. Il y a déjà pour les citoyens une réelle facilitation à l’acquisition des outils de base : ordinateur et accès à internet – le coût de l’accès ADSL au réseau internet a considérablement baissé.

L’infrastructure juridique a été adaptée par ailleurs pour développer le commerce électronique et il y a eu une action réelle en faveur de la sécurisation des échanges.

Pour ce qui concerne la diffusion des savoirs, il y a l’organisation d’évènements à visée culturelle et technologique, la densification des réseaux, le rapprochement avec l’université. Je pense que tous ces mécanismes sont de nature à permettre une meilleure diffusion des savoirs et faciliter l’accès à la connaissance.

De plus, nous accompagnons les jeunes entreprises dans les cyber parcs à l’intérieur du pays pour contribuer à la création d’une culture numérique. Il est important de créer un tissu d’entreprises TIC qui fournissent des services d’appui afin de développer davantage la culture du numérique dans les régions et à l’intérieur du pays et là où elle n’existe pas encore. Nous avons déjà sept cyber parcs opérationnels et en aurons quinze d’ici 2009.

l y a déjà en Tunisie plus de six-cents entreprises qui travaillent dans le secteur des TIC et ce secteur devrait pouvoir générer plus de cinquante mille postes d’ici 2011.

Les rencontresd’affaires e3M  29/01/2009

La Tunisie n’est plus seulement le pays du tourisme, en effet le Gouvernement tunisien s’est donné des ambitions fortes afin de faire de ce pays un acteur mondial dans le domaine des nouvelles technologies. Capitalisant sur ses forces vives, son enseignement de haut niveau pour bâtir l’avenir et faire de la Tunisie une terre propice au business dans le domaine des TIC en particulier, la Tunisie est parvenue à créer un environnement dynamique et propice à l’investissement et aux partenariats. Cette année le Technopôle d’Elgazala des Technologies de la Communication a accueilli, les 23 et 24 avril 2008, les 6ème Rencontres Méditerranéennes d’Affaires TIC, Télécom & Multimédia « e-3M Tunis’2008 » labellisées par le Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Emploi sous le « Label France » d’UBIFRANCE.

Ces rencontres annuelles ont pour but de créer des synergies entre les entreprises françaises, l’offre de service et les compétences des entreprises et ingénieurs tunisiens. Elles s’adressent aux entreprises cherchant des marchés en Tunisie et plus et plus généralement dans les pays francophones d’Afrique, ainsi qu’aux acteurs économiques partenaires pour exporter leurs services ou produits, ainsi que des acteurs pour favoriser des alliances économiques et technologiques. Cette année les rencontres étaient organisées sur le thème de l’alliance stratégique.

Cet événement se déroule dans le cadre de la convention de coopération entre Marseille Innovation et le Pôle Elgazala des TIC en partenariat avec la Fédération Nationale des Technologies de l’Information et de la Communication en Tunisie, le Pôle de Compétitivité mondial Solutions Communicantes Sécurisées (SCS), le Technopôle de Château Gombert, le Cluster open Source «Libertis », le Cluster Medinsoft, le Club Informatique de Provence et Provence Business Angels.

Après six éditions réussies en Tunisie et au Maroc, cette manifestation est devenue le rendez-vous incontournable des PME, Start-up et des institutionnels français qui souhaitent élargir leurs activités au contexte maghrebin.

Marianne Dabbadie

Ne pas se laisser surprendre...  28/01/2009

Une dimension proactive, qui elle est moins évidente à cerner à priori, mais non moins nécessaire. Par cette approche nous entendons la nécessité une fois protégé contre les dangers potentiels dument ciblés, de ne pas se laisser surprendre par de nouveaux dangers non encore émergés. Il est évident qu’une entreprise est une entité vivante, et qu’à ce titre, elle s’inscrit dans une évolution temporelle. Cette évolution doit prendre en compte deux facteurs. Un premier facteur qualifié d’intrinsèque qui est lié à sa structure et à son histoire. Il induit une notion d’inertie. De manière caricaturale nous diront que l’entreprise X qui fabrique aujourd’hui des véhicules automobiles ne peut pas, du jour au lendemain et ce quelle que soit la compétence de ses équipes, se mettre à produire des réfrigérateurs ou du mobilier de salon. Tout évolution nécessite un nécessaire temps d’adaptation et ce temps est d’autant plus long qu’il y a un écart technologique entre les produits actuels et les produits futurs. Le second facteur, extrinsèque, concerne lui, l’évolution de l’environnement. Il induit des notions d’opportunité et d’adéquation entre une offre maitrisée et caractérisée par une gamme de produits, et une demande, estimée, et mesurée à l’aune de la satisfaction d’un marché potentiel. Là encore de manière caricaturale rien ne sert d’avoir une parfaite maitrise dans la construction de diligences et de protéger cette maitrise par un outil de gestion de la protection industrielle à l’heure des déplacements en TGV ou en avions.
Ces quelques considérations préliminaires nous montrent donc l’importance, en termes de survie d’une entreprise, de gérer de manière efficace et réaliste la protection de son patrimoine industriel. Mais alors la question qui vient à l’esprit est : qu’est ce qu’exactement qu’un patrimoine industriel ?

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